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Le noir est une couleur chargée d’histoire. Du XIVème siècle à nos jours, le noir traverse les années et s’adapte aux tendances. Il s’invite sur les défilés de mode et caractérise les plus grandes pièces de Haute Couture des maisons de luxe.


À la fin du Moyen-Âge, la couleur noire s’invite dans les codes vestimentaires. Cette tendance apparaît à partir du 10 septembre 1419, à la suite de l’assassinat de Jean Sans Peur, duc de Bourgogne. Meurtri suite au décès de son père, Philippe Le Bon décide de se vêtir uniquement de noir afin de montrer sa profonde tristesse. Considéré comme l’homme le plus puissant d’Occident, Philippe III de Bourgogne influence la mode de l’époque imité et copié immédiatement par ses sujets et courtisans. La nouveauté du Duc de Bourgogne inspira d’autres Cours comme en Espagne avec l’empereur Charles Quint, qui se vêtit de noir tout au long de sa vie. Le noir se répand alors dans les usages et est utilisé comme marqueur social. En effet, les couleurs des vêtements, les ors et les différentes étoffes représentent des éléments permettant de distinguer le statut social et politique d’une personne au sein d’une communauté. Au XVIème siècle, teindre les tissus coûte extrêmement cher : seules les personnes riches peuvent se le permettre. Le noir devient donc rapidement un signe extérieur richesse, permettant une distinction sociale. Il est considéré comme signe de noblesse et de royauté. À la cour d’Espagne comme chez les nobles flamands ou les seigneurs de Venise, on fait confectionner des habits noirs pour se distinguer et signaler tant sa position sociale que sa richesse. On le qualifie d’un acte de pur élitisme.

Durant des décennies le noir amène à la réflexion. Il regroupe les teintes les plus obscures en ne laissant passer aucun spectre lumineux. Mais le noir est-il considéré comme une couleur ? La question ne cesse de se poser et varie selon les cultures, les métiers et les opinions. Les teinturiers la considèrent comme telle, alors que certains peintres s’opposent à cette interprétation comme Léonard De Vinci. Couleur ou non, le noir représente le symbole de l’élégance et de la modernité.

En effet, le noir devient alors l’allié de nombreux vêtements iconiques et notamment dans un premier temps, du fameux smoking. C’est après la guerre de Crimée que les soldats revenus du front se mirent à fumer de manière plus abondante, démocratisant la cigarette. Après le repas, les hommes enfilent une veste longue avant d’allumer leur cigarettes afin de ne pas se salir et ainsi protéger ses vêtements de la salissure et des odeurs. On surnomme alors cette pièce le «smoking jacket». Mais après avoir connu un fort engouement auprès de la noblesse, le noir connaît une éclipse au siècle des Lumières, laissant place aux couleurs vives. Or en 1860, Edouard VII, prince de Galles demande à son tailleur, Henry Poole & Co de Savile Row de moderniser la «smoking jacket». Il demande une veste moins encombrante, plus moderne avec davantage de tenue ainsi qu’une boutonnière simple. Le smoking d’aujourd’hui apparaît. Il se présente noir de sorte à ne pas voir les cendres qui auraient pu s’échapper de l’encolure en soie. Cette encolure a pour objectif de faire glisser la cendre le long de la veste afin de toujours paraître propre et élégant. Cette pièce devient un vêtement iconique du vestiaire masculin. Aujourd’hui le smoking reste un incontournable dans le vestiaire masculin même si son utilisation première n’est plus purement tournée autour de l’action de fumer sa cigarette ou son cigare.

La couleur influence également de nombreux mouvements et créateurs dans la mode. Le New Wave tire son nom de différents styles musicaux apparus à la fin des années 1970. Le dit « post-punk » se démocratise en marge des mouvements underground. Il impose les couleurs sombres entre le gris et le noir, reprenant les codes du Rock’n Roll. L’objectif ici est d’être le plus sombre possible, neutre mais aussi et surtout anonyme. Les groupes musicaux se succèdent allant de Depeche Mode à Tears for Fears. En 1986, le mouvement «new wave» laisse place au style punk, continuant à perpétuer le noir. Les créateurs japonais tels que Yohji Yamamoto ou Rei Kawakubo, aux antipodes des couleurs vives dans années 1980 cherchent eux aussi à perpétuer le noir. Un contraste et un choc à l’époque puisque leurs défilés ne présentent que des collections entièrement noires. Pour Karen Van Godtsenhoven, les créateurs japonais semblent nous dire que la couleur n’est que distraction, qu’il est temps de revenir à l’essence de la structure et des lignes d’un vêtement. Des architectes, designers, critiques d’art ou rédactrices de mode alors convaincus, commencent à s’habiller en noir, remaniant cette couleur sous toutes ses formes. C’est d’ailleurs dans cette continuité que s’inscrivent d’autres créateurs antifashion comme Martin Margiela et Rick Owens. Pourtant sorti des ateliers colorés de Jean-Paul Gaultier, le créateur Belge Margiela se réfugie dans le noir après s’être détaché de son groupe de stylistes considérés avant-gardistes et surnommés les «Six d’Anvers». Il bouscule les conventions et se rapproche du style Gothique de l’époque. Le noir est sa couleur de prédilection. Il invente et réinvente des vêtements en tous genres faisant des collections et des défilés toujours plus surprenants.

Tom Ford mais aussi Hedi Slimane travaillent le noir sous toutes ses formes jouant avec les contrastes. On le retrouve sur des silhouettes de manière laqué, satiné, lustré ou encore cuivré. La mode des années 2000 est fine et charbonneuse, les vêtements sont serrés et la taille est marquée. Influencée par les couturiers Hedi Slimane et Raf Simons, la jeune génération surfe sur le luxe et les tendances à la fois sobres et extravagantes. Les pièces iconiques reprennent tout doucement place dans les dressings tout comme les pièces basiques mais indémodables tels que le smoking et la petite robe noire. On réinvente des pièces iconiques, on s’inspire des époques précédentes, on sort du style conformiste et surtout on s’affirme en noir.

Quant à l’art du noir, une personne se présente comme le chef du mouvement, sublimant la couleur. On parle du fameux carré noir de Kasimir Malevitch. Créé en 1915, le tableau est composé d’un carré noir sur fond blanc. Peint à l’huile ce tableau revendique les conventions de l’époque et s’inscrit comme étant futuriste à l’égard du bon goût, des normes sociales et artistiques. L’art c’est aussi la photographie et dans ce domaine nombreuses personnes s’imposent sur des clichés en noir et blanc afin d’exprimer une émotion particulière dans une atmosphère sombre et nostalgique. Ces photographies permettent une intemporalité de l’image et une interprétation qui nous est propre. Pierre Soulage est l’un des pères de cette technique qu’il appelle «noir-lumière» ou encore «outre-noir». Loin des photos de modes, il rejoint néanmoins les mêmes ambitions que celle-ci. Un symbole symboles forts et messages engagés caractérisent les clichés.

Le noir s’invite également dans la littérature, notamment dans la poésie de Beaudelaire ou de Rimbaud. Ces poèmes font référence aux significations de cette couleur : la nuit, l’ombre, le mystère, la peur ou encore les ténèbres. Autant de mots forts pour refléter l’univers dark.

Toutes ces références naissent de domaines différents et pourtant tous ont une influence directe sur les tendances et la mode en général. L’exemple parfait est la mode punk et gothique. Anticonformistes, en quête de liberté et d’indépendance, cette couleur aide à l’affirmation des personnes. Il représente tout un symbole, une modernité à toute épreuve. On parle du fétiche chromatique des plus grands reformeurs de mode. Le noir explore toutes les coutures du monde, coule sur tous les podiums et affirme son caractère.


Rédigé par Laurine Roussel.


Sobre et élégante la Petite Robe Noire est un incontournable des gardes robes féminines. En soie, en lin, ample ou ajustée, longue ou courte, à manches ou dévoilant les épaules, la Petite Robe Noire est une pièce adoptée par toutes les femmes pour chaque occasion. Mais que cache réellement cette pièce phare de notre dressing ?


C’est au XXème siècle que la Petite Robe Noire fait son apparition. Associé à l’austérité, ce vêtement est longuement considéré comme signe de deuil. En effet, le début des années 1920 est marqué par la fin de la Première Guerre Mondiale. Une guerre entre la Triple Entente et la Triple Alliance faisant l’un des conflits les plus meurtriers de l’Histoire. Le sentiment des femmes est à la mélancolie, au désespoir et à la tristesse de la perte de leur mari ou de leurs enfants. Abattues par cela, les femmes se vêtent de noir afin de montrer le chagrin dans lequel elles se trouvent.

L’économie et le contexte dans lequel le monde se trouve permettent à la robe noire de s’inviter en plus grand nombre dans les gardes robes des dames, ne voulant plus s’en séparer. La robe noire devient le vêtement incontournable. Les couturiers s’inspirent de cette robe pour en faire une robe élégante et intemporelle. En 1926 Gabrielle Chanel s’approprie pour la première fois cette pièce. Coupée dans un fourreau de crêpe avec un col ras-du-cou, des manches longues, une longueur au genou, la création met en avant des matières simples et raffinées, coupées sous forme de drapée. À cette époque la robe est critiquée pour sa longueur, trop courte selon  les critères de l’époque. Le couturier Paul Poiret osera dire que Gabrielle Chanel a inventé la « pauvreté du luxe ». Cependant pour Chanel ce vêtement est un élément essentiel dans la garde-robe d’une femme. Cette réinterprétation de la robe fait la une du journal américain de mode, Vogue, surnommant cette création  la « Ford de Chanel » en référence au véhicule vendu en multitude à travers le monde. Mise en lumière, ce ne sera que dans l’ère du « New look » inspiré par Christian Dior que la petite robe noire deviendra sexy et glamour, s’adressant à une clientèle sélective voire exclusive. Portée par les stars du cinéma ou encore de la chanson, elle devient rapidement la pièce fétiche des célébrités, pouvant être portée à tout moment pour toutes occasions. La petite robe noire donne une classe et une prestance à la femme. De par ses nombreuses revisites, elle permet de dévoiler son identité sans pour autant exposer sa personnalité au grand jour. On la connaît type garçonne dans les années 1920, glamour en 1950 ou encore rock dans les nineties. La petite robe noire se démocratise. Chaque évolution de la société permet le mouvement de cette pièce. On l’accessoirise de sorte à la porter au travail, en soirée ou encore lors d’un diner.

La simplicité mais à la fois la complexité de la pièce intrigue de nombreux couturiers qui la redessine, se l’approprie en incorporant leur ADN, leur style afin de proposer leur petite robe noire. Son extension à l’international lui vaut l’acronyme LBD ou « Little black dress » en anglais. Avec cela, Hubert De Givenchy la fit longue sans manche en satin. C’est notamment avec une de ces petites robes noires fourreau que Audrey Hepburn fut vêtue dans le film Breakfast at Tiffany’s de Blake Edwards. Une tenue devenue mythique dans le monde du cinéma, copiée et adorée des dames. C’est aussi dans le domaine cinématographique que Catherine Deneuve porta une robe noire aux lignes simples et carrés signée Yves Saint Laurent dans le film « Belle de jour ». Pour Karl Lagerfeld, « On n’est jamais trop ou pas assez habillée avec une petite robe noire”. C’est donc avec une de ces pièces qu’il a notamment fait sa renommée. Imaginée sous toutes ses formes, la petite robe noire était pour lui « le » vêtement du dressing. Quant à Cristóbal Balenciaga, il la travaille avec des matières fluides et traditionnelles. Le couturier espagnol transforme totalement la silhouette féminine, la faisant évoluer sans cesse avant d’arriver en 1960 au pic de son apogée. Maître de la Haute couture, le noir est véritablement sa couleur de prédilection. Dentelle, velours ou encore taffetas, le créateur joue des matières mais aussi des formes pour moderniser cette pièce. Inspiré par cette couleur, il joue de la lumière, des contrastes entre le noir matte et le noir brillant mis en valeurs par des broderies, guipure ou encore accessoires de tous genres. Plus tard, ses plus belles robes noires seront notamment exposées au palais Galliera, musée de la mode de la ville de Paris.

La petite robe noire n’inspire pas seulement les créateurs de mode. La maison Guerlain Parfumerie assied en effet sa réputation grâce à ce parfum devenu iconique. La petite robe noire est une fragrance créée en 2008 par Delphine Jelk puis remaniée par Thierry Wasser s’impose comme la deuxième meilleure vente de parfums en France. Le produit séduit un grand nombre de clients grâce à la réinterprétation du fameux vêtement de Coco Chanel : un symbole qui figure sur le logo du parfum dessiné par Serge Mansau. C’est un véritable hommage à la créatrice de mode. Tout comme les grands noms de la mode l’ont fait avec le vêtement, Guerlain décline sa création sous plusieurs senteurs. De même que la pièce phare de notre dressing, chaque femme a le choix entre plusieurs fragrances pour l’accorder à sa personnalité et son humeur du jour. Un parfum allant à toutes occasions, délicat et intemporel.

La femme moderne et indépendante de la société actuelle s’émancipe donc avec cette tenue afin de montrer sa place dans la société. Elle se veut simple, sobre et chic mais avec du caractère et une envie de se dépasser dans tous les instants de la vie. Qu’elle soit au travail, en déjeuner d’affaires ou encore à la maison avec sa famille ou en diner romantique comme en soirée, la femme peut toujours compter sur la petite robe noire qui saura s’accorder à chaque occasion en mettant toujours en avant l’élégance, le raffinement et la grâce de la femme.

Aujourd’hui, la petite robe noire est plus en vogue que jamais. Iconique, intemporelle, elle est le symbole de l’ élégance à la Française. Ses nombreuses variations attestent de la formidable créativité des stylistes mais aussi de leur savoir-faire et de leur audace. La petite robe noire ne cesse de varier car elle a été créée pour pouvoir être sans cesse réinventée. Si elle sait traverser les années sans prendre la moindre ride, elle entre dans l’avenir et n’a toujours pas dit son dernier mot. Aujourd’hui la petite robe noire est plus moderne que jamais.


Rédigé par Laurine Roussel.

  • 7 mars 2020

La couleur noire reste la même quelque soit la culture que l’on possède ainsi que l’endroit du globe d’où l’on provient. Si chaque oeil perçoit le noir de la même façon, le cerveau ne l’assimile pas forcément à la même signification. Couleur du deuil ou couleur de l’espoir, le noir n’a pas la même symbolique selon les cultures.


Le noir est une couleur complexe à examiner. Pour beaucoup de civilisations, le noir possède au moins un double sens voire de nombreuses significations. Il s’agit dans de nombreuses civilisations d’une couleur liée à la fois à la mort et au mystère mais est aussi une couleur synonyme d’élégance ou de force. C’est notamment le cas en Occident. Le noir est tout d’abord associé au deuil : il est de coutume depuis des siècles de se vêtir de noir lors d’un enterrement ainsi que pendant la période de deuil. En effet, c’est une couleur relative à la mort, aux ténèbres, au vide ainsi qu’à la condamnation. Le noir est également perçu comme une couleur chic et sophistiquée, élégante dans toutes situations. Il s’agit donc à la fois d’une couleur élégante, glamour voire sexy mais également d’une couleur très neutre et sérieuse. Elle est souvent utilisée dans les tenues de travail, que cela soit pour le bureau ou pour les avocats par exemple. On utilise aussi le noir pour représenter l’autorité et la force : les agents de sécurité ou encore les CRS sont vêtus de noir. Il s’agit également d’une couleur mystérieuse et menaçante que l’on utilise pour représenter les ténèbres et la magie noire car elle représente l’inconnu, l’occulte et le caché. C’est pour cela que les personnes dites méchantes ou dangereuses sont souvent représentées et habillées en noir.

En Chine, il y existe cinq couleurs traditionnelles directement liées aux cinq éléments. Le noir représente l’eau. C’est en ce sens que le noir est une couleur neutre, portée dans la vie quotidienne. Ce n’est absolument pas une couleur adaptée au deuil, qui se fait en Chine vêtu de blanc. Il s’agit également d’une couleur très formelle, portée par l’équivalent de nos avocats : les dignitaires impériaux. Le noir incarne l’immoralité, la connaissance, la stabilité ainsi que le pouvoir. C’est pour cela que tous les uniformes de la force publique sont de couleur noire. Dans la Chine plus moderne, le noir est aux garçons ce que le bleu leur est en Occident. Il s’agit d’une couleur régulièrement portée par les enfants, à la différence de nombreuses cultures qui considèrent le noir comme trop austère et inapproprié pour les jeunes enfants. La Chine est connue pour pratiquer la politique de l’enfant roi. L’enfant roi est un enfant hyperchoyé, objet de surinvestissement et placé sur un piédestal par les parents. Pour ces raisons, le noir synonyme de richesse et symbole de santé est la couleur parfaite pour habiller les enfants.

En Inde, le noir est le symbole de l’équilibre et de la santé. Il représente également la bonne foi ainsi qu’un caractère responsable et consciencieux. Les femmes portent des Saris noirs en toutes circonstances, la journée comme la nuit, dans un cadre officiel comme plus privé. C’est une couleur extrêmement prisée. Les jeunes femmes hindous choisissent même de se marier en noir, afin de mettre toutes les chances de leurs côtés pour avoir un mariage réussi et heureux, aussi bien le jour J que sur le long terme.

En Thaïlande et au Tibet, le noir est associé à la malchance. C’est une couleur très peu utilisée car leur garde-robe est extrêmement colorée. Pendant de nombreuses années, chaque jour de la semaine correspondait à une couleur : il était plus que nécessaire de s’habiller avec cette couleur au risque de malchance. Or, le noir ne faisait pas partie des couleurs de la semaine. Même si cette tradition se perd peu à peu, la signification des couleurs reste la même. Le noir est donc une couleur utilisée que pour de rares occasions mais reste utilisée pour témoigner un respect profond pour une cause ou une personne.

En Afrique, on retrouve comme dans presque toutes les cultures, une dualité concernant le noir. Pour de nombreuses tribus, il s’agit d’une couleur négative. Elle représente la mort, le mal, la sorcellerie et l’anéantissement. Pour d’autres, il s’agit de la couleur des origines et de la peau qui est synonyme de renaissance et de résurrection.

En Amérique latine, le noir est la couleur par excellence pour les hommes. Elle représente la masculinité à son paroxysme. D’un autre côté, le noir est encore une fois lié au deuil tout comme dans de nombreux pays du Moyen-Orient. Seuls les aborigènes d’Australie, peuple menacé d’extinction, perçoivent le noir comme une couleur festive, représentant la joie et la fertilité.

Dans de nombreuses cultures et civilisations, le noir symbolise la révolte ainsi que l’anarchie. Les djihadistes modernes sont vêtus de noir tout comme la contre-culture punk. Il s’agit également de la couleur des pirates ou de la mafia.

Les interprétations des couleurs sont parfois très différentes d’un pays à un autre, à tel point qu’il est déconseillé de se rendre dans un pays sans en connaitre la signification. Il serait en effet indécent de se rendre vêtu de noir à un mariage en Occident ou au contraire de se vêtir de noir le jour d’un enterrement en Chine. Même si la signification est différente, le noir reste une couleur incontournable des vestiaires du monde entier.


Rédigé par Clara Dokchine.

Les publications Melancolia ®, 20 Rue Jules Brunard, Lyon, Auvergne - Rhône-Alpes 69007, France

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